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amarthia
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C EST UN ROMAIN OU PEUT UNE HISTOIRE VRAI JE CHERCEH UN EDITEUR
Catégorie :
Blog Journal intime
Date de création :
25.05.2007
Dernière mise à jour :
25.05.2007

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· J ESSAYE D ECRIRE UN LIVRE ET JE CHERCHE EDITEUR
 

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J ESSAYE D ECRIRE UN LIVRE ET JE CHERCHE EDITEUR

J ESSAYE D ECRIRE UN LIVRE ET JE CHERCHE EDITEUR

Publié le 25/05/2007 à 12:00 par amarthia
A MARTIAL

. gamin . je croyais être un homme . une farce j avais a peine 18 ans un peu moins au alentour de 17an et quelque mois et quelques jours et seconde font leur importance pour un enfant, un gosse je suis plus un enfant . je me souviens de ce qu’il c est passe dans mon enfance . je crois cette que j ai vécu comment c est passe comme Je suis un homme . J étais un peu perturbe. Choque par les choses de la vie et la vie et les gens je les trouvais bizarre . en pleine incompréhension, . je me battais contre tout le monde les gens les profs et les voitures plus tard pour les voitures ça à commencer a l école . J n’étais pas très bon du tout. a l-école quand j étais petit avec un camarade de classe a chaque recrée il pratiquait un sport favori, lui pratique du judo on se battait pour un oui et un non comme ça et un jour un professeur nous pris tous les deux par notre tignasse . nous a dit allez-y frapper vous on c est donne des torgnoles . et puis les choses sont arrête d eux-mêmes . le mois de juin, c est un beau mois de l’année surtout pour ce promener et envoyer se promener comme je les fais mes professeurs ou j ai toujours rein compris et toujours été un cancre sur ces blancs publics . ça ma pris un certain temps pour essayer de comprend les choses de la vie . Ils ont commencé . dans une école d horticultures un joli mot, mais pour moi signifie pas grand-chose je ne savais pas ce que ça voulait dire. Sans aucune signification pour moi.
Je suis en 6 une classe perfectionnement pour les élevé en difficulté une classe attarder pour les débiles mentaux c est comme que les autres nous appellent . on s en foutait un peu . Notre prof une belle fille, mignonne et gentille, ont été un peu privilège . et tous les jeudis on partait à la campagne à cote un foret un peu éloigne de la ville . j aime bien ce jour c était le seul de l-école où passait la journée en plein air et avait aussi une sorte de jardin de l-école ou c était interdit d y aller sauf quand le ballon y allait ce jardin sombre et mystérieux m a toujours intrigue . on prenait le bu pour se retrouve en foret et joué au foot dans la prairie . a cette époque j aimais bien le foot j étais un sorte leader m’a prof un jolie fille comme je vous est déjà dis . juste elle m interpelle avant le match, me demande, ce que je vais faire, je lui dis, que j allais dans une école d horticulture et je savais pas signification de ce mot . elle m a félicité et je suis parti jouer avec mes camarades.
Comme je ne suis pas très bon a l-école, j ai fini dans une école d horticole . je suis allé en B.E.P.C. paysagiste dans une école tout près de chez moi à une trentaine de kilomètres . Je partir en bus le lundi matin pour arriver au bled de mon école une demi-heure a trois quartes heures de route . J y restait la semaine . j ai jamais passé une semaine avec des inconnus . j avais ma chambre a moi, tout seul un grand lit a moi. J étais un peu favoriser, je suis arrive en milieu de l’année scolaire . deux ou trois mois après vers décembre, juste avant j ai passe mon cap de floriculture sur les chapeaux de roue a la limite . J ai eu de justesse, je me suis fait vire . huit jours avant de passer mon C.A.P. certificat altitude professionnelle . j’ai eu mon cap contre vent et mare. Pas fait très marré mes parents . malgré tout leur effort de mes professeur pour me virer juste avant on avait envoyé une lettre a une des profs que ne lui disait des vilaines choses pas très gentilles . cette lettre et comme a eu la bonne idée de la signer . on s est faite convoque. Renvoyer juste avant mon cap . je me suis retrouve dehors en deux mouvements ce fut très efficace . j ai quand même réussi a passe mon cap, j ai eu une bonne note technique et en pratique pas trop mal . mes parents sachant pas quoi faire de moi pour été a eu la bonne idée de mettre au travail chez un maraîcher . Des hommes de la terre n’ont pas beaucoup de langage . des gens bruts pas méchants de fond sympathique. Bienvenu dans le monde du travail, signe et la terre comme langage la tache était dure. Le courage ne manquait pas incompréhension de ce monde brut . Je ne comprendrais jamais rien au monde du travail. À l-école on nous apprit les règles du droit sur le travail pendant toute mon enfance . On m parler d égalités et de fraternité . et là je ne me trouve devant un patron gros brut sympathique un grand homme maigrelet pas méchant physiquement, mais verbale c est dur . moi qu’on ne connaît rien dans le métier on vient j arrive. Ça me fait penser a jacques j arrive. Il parlait très mal a sa femme la traitais comme une ouvrière, mais en pire . Je suis très gentil c est pas vraiment ça plutôt comme une chienne . J ai travaille en pleine saison du chrysanthème . dur comme travail . comme emploi il suffisait déboutonné ça veut dire garder un bouton principal pour la faire grossir et enlevez tout le reste des boutons latéraux c est très pénible comme travail parque on reste tout le temps à demi courbe et cul en air et par le droit de s asseoir . on risquait de casser, les boutons c était un travail minutieux avec beaucoup de précautions, et péniblement en plus les rapports avec le patron est très dur . au cours de mois j ai eu un accident pas trop grave un petit copeau c est installé dans mon œil avec irritation du frottement de mes mains sales . Ça empire, j avais un œil gros comme une patate . c est complique les choses entre temps j avais fracasse un poteau de la serre il m avait mi sur un tracteur j avais très peu d expériences dans ce domaine un petit peu sur la bicyclette . Il m a expliqué rapidement en trente secondes et moi je suis monte au volant, enclenche la première et avant, marche. je crois il faut un minimum d expériences pour un maximum . donc, ce qu’il arriva fut normal . Je devais aller vite très vite, un peu la panique en plus je devais rentre des box de chrysanthèmes avec des fourches arrière du tracteur . Pas facile . je les prenais dehors et je les rentrais comme cet endroit était étroit avec un manque d habitudes . Je me suis pris un poteau dans la poire de la serre. Sur mon tracteur air ahuri . secoue par le choc . sur un tracteur vous avez deux pédales une pour chaque frein une petite pièce en métal relie ces deux pédales et je ne sais pas comment cette petite pièce une languette fut enlevée. Je me suis mis a freine prenant trop d assurances pour ralentir ma vitesse un seul frein a marche . J ai appuie sur la pédale de gauche et le tracteur comme vous le devine a fait un tour sur lui-même tout arrachant un poteau . ça me fait rire encore. Bien arrache le poteau . bon travail . le patron se précipitant sur moi en gaulant. Je suis désolé. Je suis descendu du tracteur et rentre chez moi. voici ma première expérience du monde du travail quelle dure réalité . Ma plus courte expérience dans le monde du travail. Ma mère a décidé de me renvoyer à école. Pas trop doué, pas trop fait pour ce monde du boulot pas encore trop tôt. Je suis retourné à école pour effectuer un brevet professionnel. Je suis arrive en mi octobre difficile pour moi de suivre j étais pas un bon élève déjà. J ai toujours réussir à suivre au fond de la classe c est une vielle histoire ça à commencer avec les bonnes sœurs . je me souviens de ma directrice ou chaque fois je me faisais renvoyer de la classe, je devais aller la voir, moi je l aimais bien, elle me punisse pas, me disait d attendre ici . au bout des certains temps je reviens en classe . elle avait une certaine compassion pour nous . Elle était ni méchant, autoritaire, mais tout le monde la craint . moi pas, je restais des demis assis, je me trouve bien ici. Le premier jour qu’on amener a la maternelle je suis retourne tout seul chez . oui je suis rentre a pied, la maison a 500 mètres . pas mal pour un petit garçon de5 ans . Cette dame habille en noir comme des corbeaux et me voila dan ce monde des grands et puis le temps passe je me suis retrouve au fond d une classe à faire des histoires sur les profs et des histoires sur nous. Les profs n ont pas trouve drôle je ne comprenais rien n’a ces cours ni a ce monde . j essaye d être moins idiot que mon voisin c est pas sur en tout cas on nous considère comme des cancres et le temps passe sur les blancs sans savoir pourquoi je suis la . on rigole . sauf mes premières années fut magnifique quand je suis passe en CP important pour un enfant d apprend a lire et écrire la base de notre histoire . la personne qu’il m enseigne la lecture et d autres matière fut une personne remarquable une femme jeune avec beaucoup de patients . elle arrivait a nous faire travailler avec rien juste son sourire et sa gentillesse . Une grande femme élance avec un amour de son métier . je travaillais comme un fou même le soir ce me souviens ces devoirs quel nous donnais je les faisais avec dévotion enthousiasme, des rouleaux de math je faisais des Cologne de chiffre et du collage avec acharnement et puis un soir m a mère m a surpris et me dit brutal qu’il faut arrêter ces découpages des choses inutiles . j’ai gardé d elle un souvenir doux et encore demeure en moi son joli sourire c est peut-être grâce a cette personne que je suis ici avec un peu d espoir sur le monde .me voila propulse en B.E.P. paysagiste
sans comprend le sens de ce mot je fus arrive en mi-course de l année scolaire je n arrive pas suivre les cours, certaine matière jamais étude comme la chimie par exemple je ne comprends rien même pas les math modernes, x plus x je me sentais en décalage dans cette classe en plus le plus drôle j étais en pension la première fois que je me trouve seul sans tout la famille je me sentais bien en même temps c est nouveau pour moi c était tout bizarre parmi les autres comme tout le monde sans ma mère . je me sentais un peu abandonne dans ce monde de grand, seul a soi sans comprend les règles . J ai essayé de m intégré le mieux possible un matin comme tout autre matin je vais a école en bus, mais au lieu d aller a école ce matin je suis resté a fougère tout la journée à me promener . vers la fin de la journée . je suis renter en stop sur rennes je me sentais libre et bien comme un papillon
Il fallait rentre il commence a faire nuit j ai réussir a rentre a rennes entre temps j ai pas voulu monter dans une voiture avec des gens bizarre vraiment des jeunes je suis pas monter dans leur voiture ils étaient 3 personne speed j ai pas voulu monter dans une voiture avec des gens bizarre vraiment des jeunes craignos je suis pas monter dans leur voiture, une voiture rapide drôle de look comme un film d horreur des jeune venant d une autre planètes dans leur vaisseau spatiale, je me suis retrouve sur la nationale presque arrive sur la route de fougère entrain faire du stop et puis d un coup mes parents surgi de je sais d ou se trouve là je suis monté dans leur véhicule personne ne me dit rien j avais rien a leur expliquer personne me demande quelque chose aucune explication nous sommes rentre sans un mot en silence je me sentais un peu bizarre ma mère ne disant rien me bouleverse son silence que d habitude elle explose la premier fois que mes parent me laisse faire sans me poser de question je crois qu’ ils ont eu peur ils sont trouve dans une situation qu’ ils ont pas penser les choses ont repris leur chemin comme si rien n était je suis retourne au lycée les choses n ont rien changer je me suis retrouve avec moi et mes problème j ai repris les cours comme si rien c est passe quelque semaine plus tard j ai recommencer a faire des connerie je sais pas ce qui m a pris une folie peut être pour attire l attention sur moi en tout cas ça a marcher un matin Je partais le lundi matin mon père m accompagnais a la gare routier en direction de fougère
mon père me dépose a la gare routier pour prendre mon car qui m emmène a mon lycée technique comme tout les lundi matin j ai pris un bus plus tard que d habitude je me suis retrouve tout seul sans les copains d école enfin je les connaissais pas beaucoup je suis descendu au bled a cote d école dans la famille j ai jamais eu d’argent j ai du en voler deux ou trois fois a mon père ,la nuit je me levais et je fouillais dans cet poche je prenais cent a deux franc pas plus ou des fois dix a vingt franc quelle histoire quand j y pense il s en doutais un peu ce jour je me trouve sur une route abandonne a mon destin j ai vu une station d essence je me suis diriger et je suis rentre dans la station il avait une personne derrière le bureau ,la caisse je lui demande si je pouvais téléphone ma dit oui pas de problème on m a demander le numéro je le connaissais pas je lui dit ,je regarde dans l annuaire je faisant semblant je voulais gagner du temps et puis ce qui arriva, le monsieur s en alla pour servir une voiture et tout suite j en profite pour passer derrière la caisse et je prend un rouleau de pièce de dix franc et le pompiste revient me demande si j ai téléphone j ai dit non pas trouve son numéro et je suis sorti et le téléphone sonnais je commençais a faire quelque pas le garagiste sort en interpellant me dit que la personne d en face une vielle elle sont curieuse rien d autre a faire a tout vu ce que j avais fait et lui a raconter et me demande de rentre avec lui sans histoire et vous me rendez ce que vous avez pris me dit ça ira pas loin ,ça reste entre nous j ai eu peur d un seul coup je me suis rendu compte de ce que j ai vu mes parent et tout ce que j ai fait j avais pas réfléchi j ai fait cet chose comme un robot un copain m avait raconter qu’ il avait fait j ai cru que c étais facile et voila je suis là devant lui j ai panique je lui jette mon sac et puis je suis parti en courant j ai réussi a le semer c étais facile la panique j ai couru comme un fou. essouffle je me suis arrête au bout de quelque instant about de souffle j aperçois personne derrière moi je ralenti je marche en faisait attention de n être pas suivie je marchais comme un animal craignant le pire sans savoir quoi faire je me sentais tout drôle et puis c était petit comme village j ai vu les gendarme se promène comme si il cherche quelque chose j ai vite deviner que c est pour moi j ai commence a m éloigne de village maudit en sortant du centre ville je me suis retrouve sur une petit route de campagne et puis j ai vu un gendarme et je suis rentré dans un café j ai pris une boisson et j ai jouer au flipper j avais un peu d argent j ai tout dépense dans ce café au bout d une heure je suis sorti en espérant qu’ ils m avaient oublie pas de bol un jeune gendarme passait par là m a demander de le suivre j ai pas voulu je me suis mi a courir mais il m a vite rattrape pas comme le pompiste je me suis rendu a lui on ma pose quelque question j ai pas répondu il m amené a la gendarmerie ils ont attache au radiateur je n ai rien dit et puis au bout de quelque minute le pompiste arriva et leur dit oui c est bien moi. Me voir là au radiateur comme un voyou attache me regarde avec pitié les gendarmes me détacha le pompiste dit au gendarme qu’il ne porte pas plainte c’est la première fois il fut clément pour moi me voir dans la gendarmerie il a eu un peu de regret pour rien ils m ont dit qu’ils oublient à condition de pas recommencer. il ne porte pas plainte, mais il conserve en cas de récidiviste il passe l éponge ne diront a mes parents j ai dit oui Monsieur je ne recommencerais pas, je ne dise rien, et je suis sorti de cet endroit libre comme l air, mais lourd d un secret a tout l instant peut exploser je suis reparti vers la station j ai pris mon sac tout petit comme moi j ai pris la route du lycée et je suis arrive en retard j ai pas explique pourquoi j ai continuer a faire semblant, a suivre les cours au mieux que j ai plu j ai essaye d oublie ce moment regrettable, désagréable comme si c est un mauvais rêve qu j ai rêve
La vie a repris tout doucement sont cours comme si rien j avais presque oublie ce qu’il c est passe sauf un midi dans la salle de jeux au flipper dans la salle de jeu . un élève joua au flipper, j ai voulu jouer j ai demande si je pouvais jouer il m admit tu devrais pas trop l emmerde il m a raconté ma petite histoire avec le pompiste j aurai du lui casser la gueule, mais je suis reste là abasourdi d entendre cette que j ai bien entendu mes oreilles résonnent encore j ai pas rêve c est bien passe je suis désole pour moi je suis reste tout oui et je suis sorti de la salle de jeux et j ai voulu me faire tout petit n avoir jamais existe et la journée passa les choses reprenne leur droit on alla dîner en silence on participait au nettoyage du réfectoire je suis en train d essayer la vaisselle corvée de chacun on était trois garçons ont discute
Un copain me disait que j étais pas capables d enlever la porte de service celle de la cuisine il
Ne fallait pas me le dire. Je me souviens un après-midi nous somme retrouve mon frère et moi chez une voisine a l attendre ma mère je sais plus comment c est arrive il me dit une connerie pareille t est pas capable de casser le carreau de la fenêtre pas capable il dit un donner un coup de poing . J ai jeté mon poing dans la vitre j ai cassé le carreau ma mère est venue en courant pour voir si j avais quelque chose a la main puis rein nous as réprimandé, mais le plus important pour moi c est que j’avais fait . et pour la porte aussi je les fais je les enlever, mais je n arrive plus remettre, j essaye plusieurs fois je n arrive pas je laisse la porte adosse contre le mur . Un prof passait par là nous demanda quelque explication et comme réponse j ai reçu une gifle de sa part j ai continué à essayer la vaisselle sans rien dire . pas fier de moi de ma connerie . la vie se déroule ainsi nous arrivons a le fin d année on devait effectue un voyage de fin d année on ira en Allemagne une sortie ça nous change la première fois non le deuxième c est plus juste je suis parti une fois en Angleterre nous somme parti à vélo sur un bateau qui traverse la manche pendant les vacances et revenue en vélo pendant 3 semaines on a f ait un petit tour ça ma fait du bien avec des inconnus plutôt sympa les mecs et les filles je regarde les filles tout en pédalant. Nous somme partis en Allemagne, un long voyage en, car nous étions en train de philosophe sur la vie pendant le trajet, on c est bien amuse au fond d autobus et nous somme retrouve sur le bord du Rhin autre cote de la frontière avec des Bavaroises comme passager j ai passe huit jours en Allemagne a coûte leur nourriture, leur langue j ai même embrasse pour la première fois une fille dans hébergement ou était les autres se moquait de moi des jaloux quelle ressemble a un garçon, mais moi je m en fous . Je la trouve sympa la fille un peu garçonnière les cheveux courts . Elle m à donner son adresse et numéro nous somme reparti en bus et moi content . Comme on est venu juste le temps de faire des adieux je me suis retrouve en France avec mes histoires et dans la bouche le goût d un autre pays une Allemande un goût sucre un bon souvenir trop court a mon avis . le bus nous déposa a l-école chacun prend le chemin de chez soi moi aussi j attend mes parents le directeur m a, propose de ramener chez moi, j ai dit OK . ça, m a semble bizarre j ai pas bien compris pourquoi il me ramène je suis monte dans sa voiture au fil de la route il me raconte une histoire que je connais bien . il me parle du pompiste que c est un petit village et tout se sait et fini pas se savoir, rien peut se cacher même mes parents sont au courant, mon père a appris par un client, je ne disais rien j écoutais, impassible et je me sentais mal et je voulais que la route n en finisse pas je voulais disparaître, être invisible, mourir me transforme en cendrier tout fin a une fin nous somme arrive chez moi. Je sors de la voiture ma mère sort de la maison en criant de rentrer par le sous-sol du garage et de ranger mes affaires et de monter on a des affaires à régler j attend encore hurler. j attend ma mère et mon père discute avec le directeur mon père qu’il me menace quel cette fois ça va finir une fois pour toutes mes conneries le ton montait j avais qu’une envie de disparaître me faire tout petit c est de fuir partir loin j ai pas plu affronte leur colère celle de mon père j ai une trouille de lui une fois nous avons failli nous battre un après-midi j avais encore une connerie, a failli me coince dans la cave je me suis révolte je me suis mi en garde comme un boxeur il s est arrête . C est peut-être à cause de ça que j ai rien fait dans la vie, c est facile a dire rein du tout qu des échecs le roi des échecs . . comme un clodo vivant de petit boulot sans jamais aller plus loin . sans rien construire . la peur de leur colère . Ce que j ai fait ce jour je ne rends pas tellement compte des choses . entend encore cette voix et j entend toute leur discussion mon père qu’il dit va me frapper j ai eu peur de tout ça c est fou d avoir peur tout ça vie de tout ça famille des gens la plus proche moi j avais la trouille de mon père comme un automate sans réfléchir d instinct J sais pas ce qu’il ma pris j ai décider de sauter le grillage j ai saute pardessus le grillage j ai couru droit devant moi et tant en tant je me retourne derrière, essouffle, je vois, rien . Tout est normal je continue je passe pardessus une autre clôture d’école, une sorte de portal . Je me retrouve devant l église . Une tout petit rue qui fait le tour de l église ou sont les autobus . un bus m’attend-il est là je monte dedans sans comprend pourquoi j ai fait les choses c est trop tard pour réfléchir non je ne vais pas retourner en arrière et je ne savais pas ou aller, j ai penser a aller voir mon patron oui mon patron a époque J travaillait chez un paysagiste une sorte de ferme abandonnée la moitie en pépinière j aime beaucoup les pépinières c est lieu magique j avais pas d argent comme d habitude . ma mère devait s arranger pour que J en ait pas. Comme se patron était un phénomène, il buvait beaucoup et je me souviens du premier jour travaille, on était 5 ou 6 personnes avec lui, on travaille chez un particulier, belle maison et grand jardin, je me souviens je m occupait du massif de rose il taille-moi je bêchais, ça faisait une demi-heure qu’on a, commence, et le patron nous interpelle, on se retrouve tous dans la cave toutes les demi-heures ont recommence . on a dû en vider quelques un, et les cadavres ont les planques derrière les pleines et a midi au restaurant un apéritif chacun paye, moi déjà j en pouvais plus . je me sentais mal, ça va on va aller a table, le soir je suis rentre, je ne sais comment, ma mère me demande si ça va, j ai pas mangé et j ai gerbe à la toilette il me devait d’argent j ai décidé d aller le trouver et de réclamer mon du . Il habite à cote de Cresson J me je ne vois rien je continue je passe pardessus un autre portail je me retrouve devant l église et puis un bus je suis monte dedans sans comprend pourquoi j ai fait les choses par réflexe . J ai pensé à aller voir mon patron oui mon patron a époque J travaillait chez un paysagiste quand j écris J comparent pas pourquoi j avais pas d argent, ma mère devait s arranger pour que J n n’ai rien et comme se patron était un phénomène et il me devait d’argent j ai décidé d aller le trouver il habite sur la route de paris un petit bled s appelle Cresson vignes . drôle de nom. J attend et la nuit commence à tombe. J je me suis diriger vers le vestiaire j attend qu’il arrive j attend sans voir personne n’arrive. Le soir arrive aussi à cote il avait une pièce ou on se changeait des fois quelque ouvrier y dormait. Je me souviens de ça. M a donné idée d aller dans la pièce a cote le vestiaire dans cette pièce il avait un lit et une armoire, une vielle armoire et lit qu’il put le renferme le vieux, c’est soi, disant la chambre une ouvrière ou plutôt la chambre du patron quand il rentrait soûl . je me suis allonge sur le lit la nuit arrive et je me suis couché sur lit et je me suis, révèle le lendemain un peu, empâte un peu drôle tout retourne et quelque instant après je tombe sur la patronne une pauvre femme son mari la trompait et elle nous demandait ou il était, lui nous disait de rien dire, bloqué sur un chantier elle fut un peu surpris de me trouver là je demande si son mari est là il me doit de l argent elle dit non il fallait attendre son mari et moi J savait que s était pas possible donc j ai décidé de me tire au plus vite possible et puis elle reparti j ai eu peur qu’elle téléphone a mes parents ai pris mes deux jambes a mon cou et je suis parti comme je suis venu sans un bruit . il fallait faire vite. Sachant q u elle va appeler mes parents pour leur signaler ma présence . j avais pas beaucoup de temps a moi j e suis aller sur la nationale et e me suis mis sur la route j ai pris n importe quel chemin je me suis retrouver sur la route de paris c est drôle je fais du stop j ai tendu la main en espérant je ne sais quoi et puis une voiture c est arrête je suis monte j ai du faire une centaine kilomètre et je me suis retrouvé loin derrière moi toute cette histoire comme un grand vide ;je me suis retrouve dehors . j ai tendu de nouveau le pouce . un autre automobiliste s est arrête, je suis monte, il pose deux ou trois questions ou je vais, ça fait longtemps que je suis la et puis on fait le chemin en silence sans un mot il ma pose deux ou trois question j ai répondu par oui et non je voulais oublier, juste écouter la musique et plus penser n’a rien, être au chaud c est tout plus rien ne le vide . mes ennui long plus qu’un souvenir comme j avais un mauvais rêve. Je me suis retrouve de nouveau sur le bord de la route entrain faire du stop je voulais monter a paris et je suis quand même arrive un chauffeur poids lourd m amener jusqu’a paris il me pose des questions il trouvait bizarre un gosse se trouve tout seul j ai raconté que j allais voir de la famille il m a pas cru, mais bon. Il était sympa . il ma laisse au milieu dans un rond-point dans paris . je suis arrive a paris me suis dit. Je me suis retrouve a paris une grande ville toute seule je connaissais personne je me sentais un peu loin très loin de chez moi. Je me sens un peu perdu je me suis mi à marcher comme ça instinctivement par pur réflexe . Je descends une rue puis autre sans savoir où je vais je marche sans un sou qu faire j ai une idée pas de génie, je reconnais, mais bon . je me suis dis que J vais aller dans une salle de gym . Il a plein de gens sans leur affaire . c est drôle. Il ne change dans une pièce pas toujours fermer donc J suis rentre dans un centre sportif . un couloir et je me suis arrive vite dans les vestiaires une petite pièce pleine de vêtements j ai fait les poches des vêtements sans vie des premiers avec la trouille au ventre . éparpiller par ci au bout de deux ou trois tentatives j ai réussi a trouve 20c est mieux que rien j avais pas cette que c est la valeur de l argent maintenant je sais un peu, mais ça ne change pas grand-chose. je me suis achète a mangé j avis faim un peu ça creuse une nouvelle ville et une vie aussi . je suis rentre dans une boulangerie j ai acheter que des pains au chocolat dix minutes après j avais encore faim il n’avait plu rien j ai marche puis marcher encore et encore et je suis arrive a rue Saint-Denis c est drôle cette rue des filles partout par hasard dans cette rue pleine jolie fille partout habille comme si elles allaient a une soirée, intrigue je regarde tout en marchant avec des grands yeux comme si je rêve une fille m accoste et me demande si je veux monter je dis oui je le suit comme un automate, j avais rien d autre a faire . Nous avons monté un escalier étroit sans savoir ce qu’il m attend c est la curiosité qui me tient une fois dans la chambre elle me demande si je suis majeur, je lui donne ma porte-feuille première erreur . me demande si c est la première fois je lui dis oui elle me demande si j ai de l argent j ai dit non elle commence a m insulter a crier comme une folle dans l escalier pour appeler de l aide je comprends pas je reste là ahuri je eu la maladresse de donner ma porte-feuille elle le garde appelle des gens je commence a comprend de me tire d ici je me précipite dans les escalier et je me met a les dévale quatre a quatre et je saute les marche j entend derrière moi le bruit de s mecs qui descente a vive allure j ose pas me détourne pas possible et me voila dans la rue je cours un peu et je m arrêt je me savais sauve une fois dans la rue . plus rien peut m arrive je faisais semblant de rien et je suis très vite parti de ce quartier je me suis mi a marcher suis arrive dans une rue qui descente au bout de cet rue j ai trouver une sorte de foyer de jeune travailleur je suis rentre et j ai demander le directeur il me reçoit je lui explique que j ai pas un sou et que je suis a la rue il me demande pas plus explication il me laisse 8 huit pour le payer un délai mais court j avais promis de le payer .j ai réussi a avoir un lit sous les toit c est une pièce remplie de lit j avais un voisin plutôt discret j ai pas connu j ai passe tout mes journée dehors je marchais déambulais comme sans savoir ou aller je suivais une rue puis autre je me trouvais dans des situation dangereux un soir je suis retrouve dans un petit parc plein monde je veux dire des hommes je me suis fait draguer il m amener chez lui un jeune je lui je suis pas Pd il dealait il m a proposer de la coke j ai refuser a cause peut être mon éducation je savais que c était mal on m a dit pendant mon enfance que c était pas bien j ai peu d expérience sur ce sujet aucun idée on la fait pour moi je suis entre deux choses ne pas connaître et vouloir connaître je n arrive pas a faire un choix le mec se fait une ligne et me propose et par instinct je dis non tout simplement j ai toujours dit non même dans ma famille je suis reparti sans savoir ni avoir une réponse je suis sorti dans la rue a continuer mon chemin qui devient complique pour moi je suis rentre dans ma chambre je me suis endormi en pensant que demain c est autre jour je me suis réveille comme si j avais rêver je suis descendu de nouveau dans la rue j ai discute avec mon voisin deux ou trois mots sans aller plus loin un soir je traîne sur les boulevard un soir une femme assit sur un blanc me drague comme c était la premier fois je suis timide on a parle de tout de nous je crois quelle était marie abandonne par son marie sur le boulevard du désespoir une descente au enfer un truc comme ça on devait se revoir mais moi je me souviens plus de l endroit je l ai oublie j ai essayer de retrouver pas possible et les jours mon délai se raccourci je savais que faire le directeur ma dit que j avais huit jours pour lui payer la chambre ,ma dette. j ai toujours pas de sous je suis retourne dans les gymnase comme un nase mais bon rien que de la poussière pas d argent beaucoup de risque pour rien j arrive le dernier jours et oui jours ça passe très vite .c est dur paris quand on connais personne juste les rue comme amie je me suis retrouve comme la premier soir, en bas du foyer je suis pas monte j ai décider de partir d ici ou ailleurs j ai fui encore une fois pas d argent je suis aller gare j ai pris le train le premier comme ça et me suis retrouve a l Orléans belle petit ville je suis arrive au terminus j ai descendu du train comme un voyageur et j ai suivi les gens vers la sorti et sur ma droite une brasserie comme tout les gare je suppose. Une petite gare, mais remplie de monde c est normal vous aller me dire . il avait un bar, je suis rentre, toujours sans un sous que J pouvais faire à part regarder les autres boire je suppose plein de monde de la fume d’humanité je suis rentre j avais pas d argent c est un problème j ai seulement traverse la foule en regardant les gens quelqu'un m a aborde ma payer un verre un inconnu, un alcoolique anonyme je m en vais j ai pas de sous je suis sorti par entre principaux je suis sorti et j ai remarque deux portes du restaurant dans haut ferme seulement avec un balai comme serrure je suis de nouveau rentre j ai pris une sorte couteau pour faire glisser le manche du balai et faire tomber j ai pousse la porte j étais un peu a écart des autres j ai fait tout ça devient tout le monde comme un homme invisible et je suis monte les escaliers pas à pas tout doucement je me suis retrouve dans une salle de restaurant vide remplie de table et un bar, un comptoir rempli de bouteille . dans une pénombre je suis rester immobile a écouté le bruit rien juste le bruit d en bas j attend pour voir si personne c est aperçu que je ne suis monté toujours rien j écoute le silence d en bas, pas de bruit différent du fait que je suis monter, j écoute ce silence ce bruit de fond du bar normal comme tout est normal, ça va ils ont pas aperçu que je suis en haut, bien . je commence a regardé autour de moi le temps de m habituer a l obscurité je vois des tables et puis un bar j arrêt un instant si on ma entendu, non-rien . Je passe derrière le bar je continue à fouiller derrière le bar je tombe sur une caissette et une deuxième, merde deux caissette, le bonheur trop court ils sont fermer remplie de monnaie, je les secoue. Trop beau hein et j essaye de les ouvrir, je fais, trop de bruit ; j arrête, j écoute, rien je continue à essayer de les ouvrir j ai décidue de les emmène avec moi. C est mieux. Je décide de partir de cet endroit un peu trop bruyant à mon avis. Je prends avec moi les deux caissettes . je les mets sous mon manteau, je vais essayer de sortir comme ça. Je descends escalier . j ouvre la porte-vitre. Des gens me regardent je fais comme si je travaille ici. Je suis sorti de la gare comme ça sans rien à me demander je suis dans la rue sous les bras j avais mi les deux caissettes sous la veste . je suis un peu chargé . j ai vu de loin un souterrain je me dirige vers un souterrain . Au bout de quelque mettre, je commence a les force je les jette partiaire je les frappe l une sur l autre . à force des jette partiaire . des sous tombe je les frappe de nouveau une sur l autre encore comme un fou . Je continue avec acharnement j entend les pièces le bruit ça m excite d entendre ce bruit d argent comme une fortune m attend je m arrête j écoute le silence rien . je continue, exciter j arrive un peu à ouvrir a quelque pièce tombe des boîtes je les mets dans la poche ma poche, commence à peser un peu . je suis au bout du souterrain, je sors du souterrain . Je suis dans la rue, je prends une petite ruelle. Et une voiture de flic passe me regarde, je fais, comme rien, je fais le mec qu’il rentre chez lui et il passe je m engage dans une petite rue et je vois une grille je monte sur le bord du mur et j essaye de l ouvrir avec une pointe j arrive un peu avec tout le mal qu me suis donne j arrive un peu ce maudit boite je me suis dit je vais me faire avoir . Avec plusieurs tentatives. J ai fini seulement un peu à les ouvrir ; une petite ouverture. J ai forcé sur une des grilles avec tout ce vacarme, ce bruit que je fais je commence à venir fou je la balance de nouveau et encore un peu plus sou arrive. J ai détruis les boîtes L arrive a me remplis mes poches . elles sont vide les boîtes presque, elles font moins de bruit c est lourd la petite ferraille dans mes poches . Je balance cette boîte et il n’avait pas de billeté dommage pas fou. J avais récupérer presque deux cents francs, pas mal dur labeur . pour moi c était beaucoup je me dirige de nouveau vers la gare, fou que je suis. Déjà 1heure de la mate un horaire difficile a comprend pour un gosse, je commence seulement a vouloir s amuser. Je me suis retrouve tout seul sur la place devant la gare de loin je vois un groupe de gens il avait un groupe a cote de la brasserie, je me rapproche d eux, ils discutaient, petit à petit je me mêle a ses gens a se groupe. Au bout de quelque banalité, je demande ce qu’on pouvait faire ici. La brasserie à ferme a cote me dise. On peste contre ce monde de débile ça dure un petit moment une petite demi-heure . je fini par demande s’il n’avait pas quelque chose d ouvert d autre on ma dit en bas il avait une autre brasserie qu’il ne ferme pas ouvert toute la nuit, j ai voulu le vérifier. Après quelque instant je suis descendu avec un mec, un jeune un plus âge pas trop plus que moi on a sympathise il m n’a raconté son histoire pas drôle du tout il était en permission une sortie de prison . un gosse en prison il était jeune déjà en prison une permission pour une nuit je comprends pas on a discute et ma explique que ça spécialité c était les voitures il aimait rouler dans les voitures sans permis ça me rappelle une histoire j assistait a un flag un gars fut condamne plusieurs fois pour vol de voiture uniquement il aimait roule dans des belles voitures rien que ça et même une fois il a poussé le vice de s en servir et de la ramener a sa propriétaire quel drôle de mec . plutôt sympa, je juge clément, lui a demande de se soigner. Puis je lui propose de boire un verre a la brasserie on a rentre dans immense brasserie vide on s installe a une table et commande deux demi-. on passe la nuit a boire des demi j avais récupérer plus deux cents francs a chaque que nous servais je ne payais avec ses petites monnaies pas trop malignes comme mec quand on était juste en face on a but toutes nos souls et nos ivresses sans en être en racontant notre vie moi J n avais pas grand-chose n’a dire je connaissais rien de la vie et lui un peu du moins une certaine expérience de la vie ce que je croyais j’écoutais avec des grands yeux a chaque demi je rigolais quand je payais avec cette ferraille et de voir la gueule du serveur qu’il dit qu’on fait les troncs de l église et on a passe tout la nuit a boire des verres se suive, cette brasserie était déserte, il avait peu de monde, désert et le petit jour se lève et nous aussi il doit rentrer j ai décider de l accompagner j avais rien d autre a faire . je lui dis que je suis a la rue en allant, je lui raconte ma petite histoire me dit ici il y a un foyer un directeur sympa qu’il peut m aider, je verrais, je lui dis je l accompagner jusqu’a la porte ça fait drôle de voir un gamin comme moi ce retrouver dans un endroit pareil, invraisemblable pour des gosses on m a dit qu’il avait volé des voitures plusieurs fois un truc comme ça qu’il était multiple récidiviste déjà a son âge je fais mes adieux sur le parvis de la prison . Je suis parti je suis passe devant ce foyer qu’il ma parler sans m arrête . les choses pour moi n ont pas changé . je décide de retourne a la gare boire un coup et une fois dehors j ai rencontre des jeunes comme moi seul dans la rue livrer a eux-mêmes abandonner par les humains . On a fait connaissance sympathisé . on à passer toute la journée à la gare . Ils m on dit qu’ils connaissent un endroit pour dormir une sorte de foyer, d auberges des pauvres pas terrible, mais bon on y va. Qu’il ouvre seulement à partir de 17 heures nous avons pris le chemin du foyer en route nous plaisantons sur tout et rien . moi content d avoir une sorte de famille des copains dans la même galère que moi. Je me sentais moins seuls nous avons descendu la rue face a gare je tournais le dos nous somme sur une place . place Jeanne d arc elle la imperturbable superbe sur son cheval se tenait héroïquement devant nous comme un défi nous avons réussi a traversé cette place . a l ange de cette place il a y un café qu’il s appelle la rotonde u n café aussi ennuyer que son non, ou j ai passe des dimanches entiers a l attendre le lundi pour oublier les dimanches c est pour ça que ça s appelle-la rotonde . nous avons pris sous les arcades plein de petits magasins de fringue . sous arcade nous avons traversé, nous avons tourne à gauche nous somme retrouve dans une petite rue piétonne ou les voitures circule en difficulté avec nous nous somme descendu cette petite ruelle en fanfare seulement la rue comme public nous avons continué a descendre . au bout d un moment nous avons tourne à droite nous somme retrouve dans une sorte de cours habite par de vieux bâtiments au fond une sorte de bâtisse vitre et en face de moi un réfectoire ferme on avait tout plu ou moins le même âge . la même histoire on avait fui le foyer la maison familiale . Un parque sa mère s était remarie, il s entendais pas avec son copain, dispute truc fatal nous étions quatre gosses abandonnent dans la rue a nous même . Nous sommes arrivée un peu en avance à d-hôtel pour les pauvres. Déjà des personnes sont là il attend ouverture je demande a quelle heure ça ouvre-t-il ma dit 17 heures je me trouve ici avec des gens de la rue je les regarde un par un tous une allure différent, d’âges différents, je me sentais pas bien d être là. Il avait une sorte de chef pas vraiment ça un comique il disait des conneries . Un drôle de mec a raconté des histoires drôles amuser la galerie a nous faire rire brave type et nous mêlons a lui en riant pour oublie notre misère, et puis 17 heures arrive-nous somme retomber dans nos tristesses . un par un, nous somme présente, on rentre en donnant notre non-carte d identité en échange d un lit, drôle de marchandage . Je me suis retrouve dans un réfectoire, je me suis assis avec dégoût autour d une table on attend nos dîners, une sorte de soupe . en silence passif sans un mot on mange je déteste c est endroit sordide rempli inhumanité des gens fracasse par la vie ou les gens et puis une fois manger on va dans une sorte de pièce remplie de lit, on m a donner des draps . J ai eu un lit dans une grande pièce avec plusieurs lits ça se voit qu’on est de passage je n ai pris un comme au hasard. Nous avons dîné sans humour c est triste un foyer de sans-abri pas d alcool interdit tout était interdit ici sauf de mourir dans cette grande chambre nous étions une vingtième . J n’arrive pas à dormir ; je me suis mi discute avec un mec me dit qu’il a un hôtel pour pas cher qu’il connaissait. nous avons sympathisé parler de toutes les souffrances de la terre demain . je me suis levé en croyant d avoir rêve, mais non je me suis retrouve dans un réfectoire sur les tables des bols vides comme nous . nous attendais j ai pris du café dégueulasse avec réflexion, je crois que c est fait express, et je sortit de ce foyer maudit avec un mec avec qu j avais discuté la nuit dans la chambre où je dormais . nous sommes allée à plusieurs avec lui il connaissait bien une agence d intérim qu’il recrute. ce fût facile a l époque pas complique-on rentré et ont ressort avec un boulot facile je me suis retrouvé avec un travail en l équipe avec les même personne du foyer . le groupe de jeune quand ont c as rencontré à la gare c as drôle je travaille en plein champ un peu l éloigne de la ville . la personne que j avais connu est là même dans auberge des pauvres nous conduisîmes avec un véhicule offert par la boîte d intérim pour amener dans le champ rempli de tuyau . mon travail constituait a suivre les tuyaux . C était simple je devais faire attention uniquement a un câble pas trop complique on pose des tuyaux des gros tuyaux . Je ne comprenais rien au monde du boulot, rien de nouveau . Je voulais faire de mon mieux je courais de partout, le chef le vrai responsable me disait, pas faire comme ça non il faut rester a ma place . On a passé toute la journée dans les champs, on a mangé au grand air, j ai passe huit jours sur ce travail à regarder les tuyaux pousser. Drôle d endroit, ça dure une dizaine de jours cette mission . Je suis retourne au foyer seul endroit que je connais ou je pouvais dormir on m hadith que les flics sont passée comme je suis mineur j ai pas droit d être là ça faisait huit jours que je dormais dans cet endroit juste un lit . Ils m ont dit ce soir OK et qu pour demain m on demander de partir parque la police me cherche j étais mineurs et qu’ils étaient en illégalité . Le mec avec qu’il je travaille connaissais un hôtel pas cher je suis parti ensemble a cet hôtel dans un petit quartier tranquille . Le soir nous somme retrouve dans une chambre a trois lits on était trois à partager cette chambre . Quel on payait t a la semaine le soir on restait au bar pour passer le temps . Et on ne discute avec les habitués de tout et de rien et quel nouveau qui passait par là. Je découvre la vie, ses joies et ces couscous et les vins, et les ivresses, on était bien insouciants, de l ivresse comme maîtresse, le soir au comptoir oublie notre avenir et nos passés . A trois dans une chambre on se rapproche le chauffeur de l équipe était homo . Le matin on partait tout au travail le soir. On rentrait des fois lui arrivait de faire des détours ils nous emmenaient à cote des toilettes pour homme il drague . Un truc de débile, des fois ils rencontraient des potes à lui. Je ne comprenais pas trop ou voulais en venir on passait notre temps au café les soirées se remplissaient. On était un petit groupe de 6 jeunes désœuvrés livre a nous-mêmes l alcool comme compagnon pour meubler notre solitude on passait les soirées tout simplement au bar a la salle du restaurant des fois pour changer on se mettait a table on mangeait un couscous on était venu familier avec le patron et la patronne des gens pas trop chiants ne nous posait pas trop de question c était bien comme ça. Temps en temps on passait derrière le bar on donnait un petit coup de main en contre parti des fois on avait des ardoise un peu de retard sur les semaines pas trop graves on s arrange . les jours passe ainsi le travail aussi je trouvais plein de petit boulot je faisais n importe quoi une fois je me suis retrouve avec une personne qu’il monte des machines chez les médecins tout en kit . Sympa gars, ça dure trois jours le soir il nous accompagnait a hôtel . On a but un coup ensemble et le matin me prenait a hôtel . après le travail on se retrouve au comptoir les amis d un soir, des personnes qu’ils mangeaient dans restaurant des inconnus, on passe du bar a table en table et puis de bar en bar comme n importe qu’il qui découvre la vie celle qu’on nous a cache c’est comme un petit chat qu’il découvre cette premier pas, mais, on était une bande de jeunes qu’ils passaient leur temps a boire . je paye a la semaine a hôtel et on rencontrait du monde dans cet hôtel qui faisait restaurant et bar un peu de tout des gens ordinaires et pas ordinaires, on buvait un coup, des coups on faisant des connaissances, je me souviens d une personne qu’il travaillait a EDF et qu’il m
avait qu’il avait tous les films, un gars sympa un peu seul le patron de se hôtel était un spécial peu comme tant d autre
je faisais le plein de job comme nos verres j ai pas travaille trop longtemps dans cette sorte pipeline des canalisations on mettait des tuyaux les uns au bout des autres c est mission parque J savais rien faire d autre, je voulais tout faire en même temps donc c était pas possible on avait tous une tache définie moi j arrive pas rester en place et donc au bout de quelque jour, j ai eu une fine mission, mais j ai compris le truc, c’est facile, je rentre dans une boîte d intérim c est comme ça j ai commencé a travaille dans une autre boîte de pharmacie une sorte d usine de médicament il fallait remplir des boîtes et puis des caisses J n arrivais a suivre la rime le chef de service venait me voir souvent puis très souvent me demander de suivre la première fois il m explique comment faire et j arrivais pas un autre collègue de travaille s en prenne a moi, un peu débile comme mec . Bout de quelques jours m ont, jette, je suis content je ne voulais pas rester dans un endroit pareil de cette boîte ou pouvais tomber malade c était tristes sinistres pauvres gens qu’ils ont travaille toute leur vie dans des endroits pareils . le week-end on partait en boîte la liberté de mourir sous la pluie c était bon de plus avoir personne a rend des comptes une fois nous somme allée en boîte ma première fois aux environs d Orléans quelque kilomètre tout les trois en voiture le plus âgée connaissaient une discothèque un habituer nous somme rentre facilement on a dit bonjour au portier et nous somme rentre on c est mis au comptoir j ai bu pour la première fois une eau de mer du gin et du curaçao une liqueur bleue compose d écorce d orange et de l eau de vie et d autres chose je trouvais ça beau et bon, peu exotique me faisait rêver ce bleu . Il connaissait beaucoup de monde dans cette boîte, mon pote et moi on c est mis à danser sur la piste, une grosse en train de la drague mon pote vraiment énorme elle lui a même proposé de se marie une histoire de fou contre argent qu’il m a raconté on c est retrouve au bar le pote, le chauffeur discutait avec un groupe de gens des gens un peu spéciaux des homos sans être vraiment des homos . Des folles on a sympathise. Nous avons proposé de finir la soirée chez lui. On a fini la soirée chez une folle je vous rassure pas vraiment folle comme on entendre un homo . on a un picole un pas trop. On s est mi à faire les fous on danse chez la folle c était un vieux nous amener chez lui il avait sa femme un peu laide et vielle on bout de quelque heure on s est casse-on a laisse le collègue de la chambre avec le vieux ou ailleurs c est pas mon problème on a essaye de faire du stop, une pluie battante . Nous somme rentre a pied sous cette pluie j ai jamais vu autant d eaux tombe comme on a fait des kilomètres sous la pluie . on chantait en faisant du stop mon pote et moi en titubant sur la route les gens ne s arrête pas nous vois ivre de liberté ce n’était pas tellement un problème, nous somme arrive vers 8 heures du matin, on se rend pas compte d’heure . on est rentré à l'hôtel. Se coucher, un peu fatigant, mais heureux . J a dormi tout le dimanche, je me suis levé le soir vers 18 heures . Je suis descendu en bar voir, ce qu’il se passe, des joueurs de cartes attable, deux ou trois personnes traînaient comme des cadavres, ça bouge pas beaucoup le dimanche . je parti au cinéma sans un sou. J ai remarque que je pouvais rentre par derrière quand les gens sortaient, je bloquais les portes et je rentrais a contre sens des gens, des gens s en foutais, des fois j attendais un peu que tout le monde soit sorti et je rentre, en général ça se passe bien . À époque j ai trouvé un travail dans une brasserie s appelle la chancellerie juste sur la place a coté ma copine, Jeanne d’arc belle, auguste sur son cheval place juste à cote il avait une sorte-bar un peu spéciale je suis rentré un jour par curiosité un bordel pas vraiment, je suis rentré. je me suis retrouvé devant un bar long et des petits banquette sorte alcôve . une hautesse m accueille, me dis bonjour, m installe sur une banquette avec un sourire prometteur, me demande, ce que je veux boire un demi et elle boit un verre de champagne pour faire causette avec moi et me tripoter mon zizi sans résultat, je sortis de lieu, sans savoir pour quoi je suis rentre, un peu amère, j ai impression que je me suis fait avoir . je suis retourné travaille dans cette brasserie chic remplie de beau monde, belle salle j ai trouvé ce boulot comme commis de bar ça consiste à servir, les clients qu’il venait au bar et les commandes des garçons c était pas trop, dur j aimait bien, faut bien travaille et apprend quelque chose, ça faisait, un mois qu j y travaille. Les choses déroule bien pour moi il avait une nouvelle fille a hôtel pour aider ou j habitais qu’il servait un drôle de numéro cette fille . Elle ne savait pas faire grand-chose, même pas un café . Elle faisait un ravage, je ne comprends toujours pas pourquoi. Je ne la trouvais ordinaire, pas mal, sans plus, surtout pas assez belle pour me battre pour elle. Tous les garçons se battaient pour elle . elle sortait avec un type jaloux et violent puis il lui arrivait de sortir avec nous en camarade . Les disputes fréquentes avec son mec, un gros nase, cette dispute la faisaient venir de plus en plus souvent et le soir il a eu une bagarre à cause de lui, vraiment un débile . On a passait le soir au bar a discute avec lui et puis je ne sais plus comment ça à commencer. Un mec du comptoir c est battu avec lui, lui en dessous et autre au-dessus de lui en train de lui mettre des coups.ca m a fait drôle de voir se monde changer en fauve, ces gens se transformer en bête sauvage . Souvent que ça lui arrive qu’il pété les plombs a la fermeture c est mise, en colère je sais plus pourquoi, mais lui c est battu avec un autre client du bar presque toutes les fois c est comme ça . c est triste pour lui je trouve, il passe pour un con . À oui un nouveau arrivant dans hôtel un mec beau gosse habitais c est mis à la drague un type un peu bizarre, on ne savait pas trop ce que i faisait, une intrigue ce mec le jour, on ne savait pas trop et le soir au bar lui disait, des choses qu’on dit à la fille quand ont à envie d elle, mais elle pas folle la guêpe ils sont venue un soir en amoureux a la brasserie sont venue me cherche sympa il a, fais le mec, bourre et dit plein de connerie la fille juste pour coucher parque une fois la fille nous déposer il a vite dessoûlez et revint un mec antipathique imbuvable un vrai comédien plus ivre dû tout quelle histoire ce mec il racontait, un blabla imaginait, il vous faisait, croire un beau, parleur abandonne un don Juan moderne nous somme allé nous coucher même une fois le patron est venu me voir dans cette brasserie chic avec sa femme et une copine a lui me salue épate de me trouver dans des beaux habits un beau gosse de la rue j étais un peu fier comme trouve important, je faisais, de va et viens boulot-hôtel j arrive a 10 heures du matin et une coupure vers 15 heures pour revenir et manger vers 18 c était endroit la table ou je faisait connaissance avec mes collègues de travail de tout des gens assez difficiles beaucoup de métier, mais peu de sympathique ils avaient tout fait école hôtelier des braves gens, mais un monde qu’il me sépare moi j arrive ici comme visiteur entre ces pauses j avais un pote nouveau je le trouvais marrant me venait me cherche au boulot on passait a hôtel et sur nos chemins on rencontre des potes quand on est jeune c est facile des enfants de la rue par de règle juste le comptoir pour nous comme salle de jeu . comme je me souviens d un pote qu’il habite sur boulevard une a deux pièces ne partageaient avec un autre colocataire pas trop sympa le mec on passait chez lui temps en temps, je le trouvais sympa et puis un autre qu’il nous offrait a boire sans compter un peintre de bâtiment jeune dans l ivresse on écumais les bar avec lui il nous rincerait le gosier-bar en bar on vadrouilles dans la ville une bande de bras casse . à force de traîner dans les bars on rencontre des drôles de gens au bout d un comptoir un jour on buvait un verre, le pote aperçu ancien un gus qu’il se faisait payer a boire pas un autre qu’il se connaissait même pas que depuis le début de la journée, drôle de type, qu’ils boivent tout leur soûl et sous, un pigeon, il attendait le moment propice pour le plumer . il me disait que i allait lui casser la gueule une fois bien bourrer pour prendre son fric quelle histoire de fou . Je le croyais j ai jamais su si c était vrai, mais je crois que oui . type sans scrupule prêt a tout, mais marrant quand même . dans cette brasserie ou je travaillais il avait deux frères, un gentil, méchant, un le matin, et autre le soir . une fois au bout d un mois j ai une panne de réveil, je suis arrive une heure en retard pour moi c est pas trop grave, mais pour un des frères n a pas aime celui du matin un peu caractériel, j ai pas téléphone pour le prévenir j ai pas penser . Il a fait une crise, m a chopé dans le cagibi, m a dit deux ou trois conneries, moi je lui réponds, ça énerve, on a sorti les poings, ce on c est battu comme deux petits coqs quand j y pense, c est tellement con, on échanger quel qu coup dans le vide et puis je suis retourne travailler et j ai dit que m en allait ce soir a son frère m a demandé ce qu’il se passe, je lui expliquer, il a bien compris, ma demander de rester, j ai dit non, je suis têtu et je suis parti sans savoir ou aller, c est dommage je commence a aimer cet endroit, toute sorte de gens . ce me souvent d un soir un gars seul se présente au bar voulais un demi-. Le boss est venu me dire de ne pas le servir. Je lui dis que je ne pouvais pas le servir ordre du patron . Un jeune bien habille look voyou un mec sous des airs de voyou pas trop fréquentable . après cette que j ai, compris-il, ma explique suite a une bagarre c est passe ici avec arrive des flics
il avait démoli un peu les tables je suis parti de cet endroit avec regret . j avais du temps libre je servais au bar d’hôtel pour m occuper je filais un coup de main . je passais derrière le bar a servir les clients dans une ambiance joyeuse . les choses se passaient bien . un soir deux individus rentrent dans le bar, des looks par trop clean, joue au flipper, me raconte qu’il fait poursuivie par une autre bande et dans la bagarre a lance un coup de rasoir . drôle d histoire, je sais pas si c est vrai, je crois, un peu Mito ces mecs . Mais bon un soir le patron a bu un peu de trop. Homo de nos chambres devais un peu d argent au patron m avait dit de plus le servir. Drôle de gars cet homo il avait un enfant a paris malades d une maladie inconnue . Il été marie le temps de faire un môme, un gamin une année je ne crois pas assez longtemps . bizarre, mais bon on aimait bien malgré tout . Le boss m avait interdit plus ou moins de lui servir à boire . il m a demande quelle chose le boss croyant qu’on se foutait de lui et sous emprise de l alcool me lance son verre de Richard qu’il se fracasse sur mon front parque j avais refuse de lui dire ce qu’il m avait dit le front en sang une arcade s est ouvert . il avait son pote du patron un lutteur a arrête stopper net homo . Une armoire impressionnante ce gars, mais sympa m a expliquer par la faute du boss que tout était que des malentendus comme d habitudes sa femme du patron c est occuper de moi et sa copine m adduit qu’il fallait que j aille a hôpital pour mettre des pointes soudure j ai dit non c est rien juste un bobo pas grave ça fait pas mal. Sa femme m a mi un pansement depuis cet événement les choses n était plus pareil même si le patron c est excusé je me sentais un peu de trop humilier j avais envie de parti partir n importe ou. la fille qu’il travaillait seulement la journée et qu’il se faisait drague par tout le monde a rencontre un fou, un gars pire que les autres, c est difficile de vous le décrire un mec incroyable on a passe plusieurs fois avec lui dans la brasserie de la gare il nous invite, lui et son pote, nous raconte comment ils sont connus a l armée je crois un soir il se bagarre et lui pratique du judo, un bon niveau, un mec froid et dangereux qu’on a pas envie de le contredire . ce soir son pote et lui son battue et lui failli de lui mettre un coup de coude sûr le cou, mais au lieu de ça a coté et depuis ce temps est plus séparé, j ai vu une fois dans la brasserie ou je suis traîné toute la nuit, une belle fille vraiment jolie attendait, folle de lui, et lui racontait je ne sais quoi, mais assurait comme un dieu . ce mec ou faisait un peu peur, je crois, elle voulait prend le large, c est distante elle a décidé de partir a paris nous somme allée un après-midi ensemble elle et moi comme des amoureux a paris c est drôle nous somme parti en train je l ai attendu tout l après midi aune-terrasse de café pas d argent sur moi a du partir vers 11 heures arriver vers 17 heures et moi a la terrasse je disais au garçon pas d argent qu j attendais quelque’ un elle était partie visiter . J ai du attendre tout la journée elle revient en fin de soirée avec un appartement des trois pièces a époque ça coûtait moins cher qu’au aujourd’hui, on c est installe, j ai quitté Orléans pour aller vivre avec une fille que tout le monde voulait coucher avec elle des fois j ai de la chance . Elle nous emmenait chez elle a Orléans . elle habitait un petit deux pièces, j aime bien me trouver chez elle . on faisait rein de mal . on écoutait de la musique, juste des chansons d amour, c est à dire je me suis installe avec elle, plutôt chez elle, je vous dis les conneries que je faisais, j étais pas trop a aise avec elle, je me sentais gêner. Maladroit, gauche, une femme pour moi tous seul ça faisait beaucoup un appartement, une femme sauf cette que j ai pas habitude vous dite que s apprend vite, mais moi les femmes je ne connais rien d autre que ma mère la seule femme que j'avais connue jusque-là c'était ma mère . Chassez le naturel, il revient au galop. Ma mère, nos rapports conflictuels, tout ça ressurgissaient entre cette femme et moi . pour un oui et un non-c est vrai je faisais gaffe sur gaffe . Un soir pas compliquer, elle me demande de surveille du lait, facile pourtant même ça j arrive même pas surveille du lait sur le feu
Le problème je recommençais avec cette personne j étais très innocent avec les femmes dans mon inconscient je cherche une mère je n avais pas la majorité, pour moi les femmes c étais des inconnus, on dormit ensemble dans le même lit j ai essayé de la toucher plusieurs quand elle dormait ou elle faisait semblait, mais ça pas était plus loin, j ai pas osé. Dommage ça aurai plus être intéressant, mais je suis un novice dans ce domaine j ai jamais. Ma mère me donna une trouille des femmes image de ma mère la représentation me troublait, je suis reste là sans rein, faire timide en pensant toujours à vouloir faire quelque sans oser ça me troublait cette situation j étais gène et puis il avait le problème argent il faut payer le loyer elle voulait de l argent . Il fallait assure un peu un jour je me souviens quel m avait donne dix francs pour achète quelque chose et moi j ai dépense cet argent bêtement sans m en rend compte et puis je rentre sans ce sou je suis dans le métro je pensais comment s allait se passe tout en regardant parterre je trouve dix . Heureux et malheureux dans ma chance je suis rentre avec le sourire il fallait absolument retrouve un travail j ai essayer de travailler, j ai travailler au printemps par intérim j ai trafiquer ma carte d identité j ai mis deux ans de plus sur la carte d identité j ai fait croire a la dame de l intérim que j ai fait mon service militaire, j avais trouve un emploi au printemps comme cuistot qu’il prépare des choses rapidement fou d’œufs sur plat j avais fait un essai un peu la panique je me trouvais déborder, il fallait tout faire vite très vite sandwich faire tout en même temps presque impossible j étais presque embauche j avais réussi mon essai et par une maladresse de ma colocataire, la patronne d intérim téléphone chez nous, j étais absents, je passais mes journées a me promener dans la foule, centre commercial, j aime bien, j oubliais un peu même problème, je me perdais dans la foule . Je me suis aperçu qu’une personne me suivait un mec, plus âge qu moi. J ai remarque ça silhouette . habile en noir . J ai eu peu peur, j ai réussi à le semer dans cette foule . alors a demande si le garçon de 21 ans était la, elle lui dit qu’il n avait pas de garçon de 21 ici, mais de 17 ans oui j ai oublie de vous dire pour cet emploi il fallait absolument faire son arme j ai dit que j avais fait pour me facilite la vie, ça commence les emmerdes, par erreur c’est drôle, donc m a convoqué a la boîte d intérim m a expliqué, que cessait possible de continuer quelle savait mon âge par erreur de ma colocataire elle, la directrice était gentil m a dit que c était fini nos accords qus j étais mis au rouge, je ne pouvais plus espoirs de travail . Je ne la trouve nul cette fille pas capable de dire oui et c est tout je la détestais pour elle pas grave donc je suis rentre je lui dis que j avais pas la boulotte grâce elle qu’elle disait des conneries au téléphone, la vie avec elle était impossible a mon avis en vrai je n arrive pas supporter les femmes donc je suis reparti a orle an de nuit, je me souvent d une anecdote suite de la carte d identité vous pouvez pas vous pouvez pas savoir